« J’ai eu beaucoup de chance que l’ambulance m’ait emmené au CHUM. Si j’étais allé ailleurs, je ne serais peut-être plus là aujourd’hui pour en parler. »
Peter a trouvé son hôpital de confiance : le CHUM
Alors qu’il se trouve seul chez lui le lundi 15 avril 2024 en après-midi, Peter ressent une douleur à la poitrine. Celle-ci lui semble d’abord familière : lors d’épisodes similaires par le passé, deux comprimés d’analgésique en vente libre suffisaient généralement à le soulager.
« Avant de découvrir le CHUM, j’évitais d’aller chez le médecin, et ça faisait très longtemps que je n’avais pas consulté. Pendant cinq ou six ans, j’ai donc eu des symptômes sans réaliser qu’ils étaient problématiques. »
Mais cette fois, l’analgésique n’a pas l’effet escompté. Quelques heures plus tard, quand il se lève, Peter comprend soudainement que ça ne va vraiment pas. C’est à ce moment qu’il compose le 911.
« Une fois dans l’ambulance, les ambulanciers m’ont dit : “Vous faites une crise cardiaque, nous allons au CHUM. Ne vous inquiétez pas, les équipes qui s’y trouvent prendront soin de vous.” Quelle bonne décision! »
Peter décrit les soins qu’il a reçus à l’urgence d’un des plus grands centres hospitaliers universitaires d’Amérique du Nord, sous la supervision de la Dre Marie Guay, comme tout simplement extraordinaires. Il exprime aussi une profonde gratitude pour les installations ultramodernes du CHUM, mais surtout pour le dévouement et l’expertise des équipes qui ont contribué à le sauver.
« Le personnel était très aimable et rassurant, il prenait le temps de tout m’expliquer clairement. À minuit, alors qu’elle devait rentrer chez elle, la Dre Guay est même venue me dire : “Je ne pars pas, je reste avec vous pour terminer ce qu’on a commencé ensemble.” »
À mesure que la nuit avance, de nouvelles personnes se joignent à l’équipe entourant Peter. D’autres spécialistes sont appelés en renfort, notamment pour poser des stents et stabiliser son état. Le lendemain, deux cardiologues se présentent à son chevet et lui révèlent une vérité qui le frappe de plein fouet : sans le savoir, Peter a subi plusieurs crises cardiaques silencieuses par le passé, ce qui a considérablement affaibli son cœur. Une opération devient incontournable.
Six semaines plus tard, Peter est opéré et entame son chemin vers la guérison. Un parcours qui comporte des difficultés, mais durant lequel il peut compter sur l’expertise de plusieurs médecins et autres professionnels de la santé qu’il appelle affectueusement — tout comme l’équipe qui l’a soutenu pendant les 24 heures terrifiantes ayant suivi son infarctus — ses anges.
« Je suis reconnaissant envers toutes les personnes qui ont pris soin de moi : le personnel de radiologie et du laboratoire, les infirmières dévouées et les préposés qui m’ont gentiment transporté d’un service à l’autre. C’était l’incarnation même d’un grand hôpital urbain à son meilleur. Un hôpital de calibre international. »
Aujourd’hui, le cœur de Peter n’est pas parfait, mais comme il le dit lui-même : « Il est au meilleur de ses capacités. » Dorénavant, pour son cœur, mais aussi pour tout ce qui concerne sa santé, c’est vers le CHUM qu’il se tourne.
« Les équipes du CHUM n’abandonnent jamais, elles continuent de se battre pour moi. Je me considère extrêmement chanceux d’avoir trouvé mon hôpital ici, au CHUM. »
Agir plus vite que la maladie, c’est faire preuve de précision, d’efficacité et de compassion, même dans les situations les plus urgentes, alors que des vies sont en jeu. Grâce à votre soutien, les équipes du CHUM tiennent cette promesse chaque jour — pour des patients comme Peter, et pour tant d’autres.
