La thérapie virale pour le cancer du sein, un espoir pour les milliers de familles touchées
Une femme sur huit recevra un diagnostic de cancer du sein au cours de sa vie
Alors que le cancer est la première cause de mortalité au Canada, le cancer du sein est le plus fréquent chez les femmes. On estime qu’en 2024, 30 500 Canadiennes auraient reçu un diagnostic de cancer du sein, et que 5 500 en seraient décédées.
Le cancer du sein est une maladie dévastatrice par ses conséquences directes, mais également à cause de la toxicité des traitements actuels et l’impact qu’ils ont sur la qualité de vie des patientes et des patients touchés. Les traitements aujourd’hui disponibles sont en effet extrêmement exigeants physiquement et mentalement : opération, radiation, chimiothérapie, etc. et comportent beaucoup d’effets secondaires.
La thérapie virale : une avenue innovante et porteuse d’espoir
Depuis quelques années, des recherches précliniques ont permis des avancées importantes dans la recherche sur le cancer, notamment le cancer du sein.
Au CHUM, la docteure Marie-Claude Bourgeois-Daigneault mène un projet de recherche sur la thérapie virale. Dans le cadre de cette recherche, l’équipe de la Dre Bourgeois-Daigneault a développé un modèle expérimental unique au monde, capable de simuler fidèlement le cancer du sein humain chez la souris. À l’heure actuelle, le Centre de recherche du CHUM est le seul laboratoire au monde ayant l’expertise pour mener à terme ces travaux.
Des études ont démontré que le cancer du sein pourrait être éradiqué par l’injection d’un virus oncolytique — un virus créé de toutes pièces en laboratoire. En plus d’attaquer la tumeur, celui-ci permettrait au système immunitaire de reconnaître et détruire ce même cancer dans le cas d’une récidive — un peu comme le ferait un vaccin.
Contrairement aux traitements classiques, les effets secondaires de l’injection d’un vaccin oncolytique sont minimes, comparables à un simple épisode grippal, et celui-ci pourrait transformer complètement l’expérience des patientes et patients atteints d’un cancer du sein.
Ces travaux ont un potentiel révolutionnaire pour les milliers de personnes recevant un diagnostic de cancer du sein chaque année au Canada.
« La thérapie virale est une avenue de traitement très prometteuse, mais il nous reste à percer certains mystères du système immunitaire pour l’appliquer efficacement chez l’humain. Les dons rendront possible d’avancer dans cette avenue innovante et porteuse d’espoir. »
Une portée élargie
En ce Mois de la sensibilisation au cancer du sein, la Fondation du CHUM vous invite à soutenir la recherche sur cette maladie. Grâce à vos dons, nous pourrons continuer à donner espoir aux milliers de familles touchées par le cancer.
Grâce à votre générosité, la Fondation du CHUM peut soutenir cette recherche de pointe et contribuer à offrir un avenir plus radieux à celles et à ceux touchés par le cancer du sein.
Faites partie de cette révolution médicale. Ensemble, agissons plus vite que la maladie.
Une femme sur huit recevra un diagnostic de cancer du sein au cours de sa vie
Alors que le cancer est la première cause de mortalité au Canada, le cancer du sein est le plus fréquent chez les femmes. On estime qu’en 2024, 30 500 Canadiennes auraient reçu un diagnostic de cancer du sein, et que 5 500 en seraient décédées.
Le cancer du sein est une maladie dévastatrice par ses conséquences directes, mais également à cause de la toxicité des traitements actuels et l’impact qu’ils ont sur la qualité de vie des patientes et des patients touchés. Les traitements aujourd’hui disponibles sont en effet extrêmement exigeants physiquement et mentalement : opération, radiation, chimiothérapie, etc. et comportent beaucoup d’effets secondaires.
La thérapie virale : une avenue innovante et porteuse d’espoir
Depuis quelques années, des recherches précliniques ont permis des avancées importantes dans la recherche sur le cancer, notamment le cancer du sein.
Au CHUM, la docteure Marie-Claude Bourgeois-Daigneault mène un projet de recherche sur la thérapie virale. Dans le cadre de cette recherche, l’équipe de la Dre Bourgeois-Daigneault a développé un modèle expérimental unique au monde, capable de simuler fidèlement le cancer du sein humain chez la souris. À l’heure actuelle, le Centre de recherche du CHUM est le seul laboratoire au monde ayant l’expertise pour mener à terme ces travaux.
Des études ont démontré que le cancer du sein pourrait être éradiqué par l’injection d’un virus oncolytique — un virus créé de toutes pièces en laboratoire. En plus d’attaquer la tumeur, celui-ci permettrait au système immunitaire de reconnaître et détruire ce même cancer dans le cas d’une récidive — un peu comme le ferait un vaccin.
Contrairement aux traitements classiques, les effets secondaires de l’injection d’un vaccin oncolytique sont minimes, comparables à un simple épisode grippal, et celui-ci pourrait transformer complètement l’expérience des patientes et patients atteints d’un cancer du sein.
Ces travaux ont un potentiel révolutionnaire pour les milliers de personnes recevant un diagnostic de cancer du sein chaque année au Canada.
« La thérapie virale est une avenue de traitement très prometteuse, mais il nous reste à percer certains mystères du système immunitaire pour l’appliquer efficacement chez l’humain. Les dons rendront possible d’avancer dans cette avenue innovante et porteuse d’espoir. »
— La docteure Marie-Claude Bourgeois-Daigneault
Une portée élargie
En ce Mois de la sensibilisation au cancer du sein, la Fondation du CHUM vous invite à soutenir la recherche sur cette maladie. Grâce à vos dons, nous pourrons continuer à donner espoir aux milliers de familles touchées par le cancer.
Grâce à votre générosité, la Fondation du CHUM peut soutenir cette recherche de pointe et contribuer à offrir un avenir plus radieux à celles et à ceux touchés par le cancer du sein.
